Marseille connait l’abondance de la gastronomie provençale, on y mange des plats typiques à base de fruits de mer. « Pour faire une bonne bouillabaisse, il faut se lever de bon matin », sur les routes du soleil des escales gourmandes font grâce à vos papilles grâce aux pêcheurs et restaurateurs qui vivent de leur passion dès le lever du jour. Puisqu’il fait bon vivre à Marseille venez découvrir sous un soleil radieux, les mets préférés des Marseillais !

Manger des sushis à Marseille

C’est à l’aide des poissons frais que la cuisine asiatique peut tranquillement s’immiscer dans les assiettes des friands d’une culture étrangère. Si nous connaissons bien ce petit assortiment raffiné de sushi Japonais, les cuisiniers prennent particulièrement plaisir à les confectionner. Les sushi à Marseille sont fait à base de poisson de la Méditerrané lorsque c’est possible, comme c’est le cas des Makis au thon par exemple.

Le Thon rouge est péché dans la mer Méditerrané depuis plus de 7000 ans. On y pêche également le Thon Blanc, aussi nommé le Thon Germon. La France coopérant au sein d’accord de préservation, ne pêche que sous certaines limites et conditions régies par plusieurs organisations telle que la Commission de préservation du thon rouge du sud (CCSBT) qui inclut des tailles et des quotas minimaux.

Aujourd’hui, plus de neufs thons rouges sur dix qui sont pêchés en méditerranée sont destinés au Japon. Les marchés se délectent de ce poisson indemne de la pollution de Fukushima. Cette matière première est cruciale pour le Japon et l’enjeu financier est colossale. Tout ceci en raison de l’intérêt particulièrement important pour les mets traditionnels :

• Sashimi,
• Tataki de thon,
• Onigri au thon et concombre.

Depuis quelques années, les plats japonnais connaissent un certain succès en France, un art traditionnel unique. Il a été possible d’ouvrir dans le pays des restaurants proposant des plats typiques du Japon dont le succès est une réussite, grâce aux Japonnais, venus partager leur savoir. Les gestes sont enseignés et la spécialité est appréciée des Français. La qualité du saumon y est pour quelque chose, mais c’est un art qui se résume aux coutumes, les meilleurs restaurants se munissent des couteaux japonnais et d’un savoir-faire unique. Cuisson du riz, quantité de vinaigre, fraicheur du poisson, puisqu’un bon nombre de paramètres entrent en jeu pour parfaire le goût du sushi.

En réalité, pour devenir Itamae-san, une période de dix années est nécessaire à l’apprentissage ultime en la matière. Une immense diversité de sushi existe, d’ailleurs, beaucoup de restaurants en France n’en proposent que trois catégories (avocat, thon, saumon). Tandis qu’au Japon la variété est bien marquée, on retrouve par exemple les sushis suivants :

• Unagi-sushi (sushi à l’anguille),
• Sakekawa-maki,
• Futomaki (gros maki à l’omelette, concombre, poisson..).

Marseille et la gastronomie

On l’appelle souvent « Marseille Provence Gastronomie (MPG) » en raison de son origine gastronomique riche, Marseille a reçu le prix de la capitale gastronomique en 2019. À Marseille, les plats typiques font vibrer les papilles des Français et touristes qui viennent s’aventurer dans la capitale de la gastronomie provençale. Non seulement une Bouillabaisse réussie conquit les gourmands, mais un bon nombre de plats aux mélanges d’épices et melting pot culturels.

Les pêcheurs à Marseille s’affairent d’une pêche artisanale en quasi-exclusivité. Les Marseillais mettent un point d’honneur particulier sur la pêche pratiquée de façon saine pour garder une qualité unique et des possibilités d’avenir prometteuses. Les pêcheurs savent qu’ils ne doivent pas détruire les fonds. La pêche à la ligne, avec appas vivants et de qualité permettent de pêcher des vives, des pagres, dorades, calamars, etc.

À la façon dont je vous réceptionne, je dois transmettre, moi, l’énergie que j’ai reçu quand je sais d’où mon produit vient

explique un pêcheur en réponse à la question « comment savoir si le poisson que j’achète a été bien pêché ? ». La traçabilité est la plus importante des convictions.

La fameuse Bouillabaisse

Avec 200 jours de soleil par an, Marseille peu se vanter d’être l’une des villes les plus ensoleillées de France. En revanche quand il pleut, ça décoiffe ! Mais la bonne humeur subsiste, c’est d’ailleurs le meilleur moment pour s’enfermer derrière les fourneaux et confectionner la fameuse Bouillabaisse. Sept poissons, des petits pour le bouillon et des plus gros cuits dans la soupe. On y trouve des langoustes, des homards et coquillages, historiquement, on n’y trouvait pas autant de richesse et au demeurant, la Bouillabaisse n’est pas originaire de cette ville. Selon les journalistes culinaire, c’est initialement un plat grec nommé la kakavia, dont les origines remontent à l’antiquité. Au fil du temps la recette prend du goût, aujourd’hui on y ajoute des oignons, carottes, céleri branche, fenouil, ail, pomme de terre, anis étoilé, pastis, safran, tomate et rouille, puis arrivent les poissons, rouget, vive et rocaillou. Elle se déguste en terrasse au moindre rayon de soleil sortant, la bouillabaisse promet encore un succès fulgurant.

L’anchoïade

Plusieurs spécialités sont cuisinées dans le coin, c’est le cas de l’anchoïade.  Concocté avec des anchois écrasés que l’on fait fondre dans l’huile d’olive le met provençale se déguste avec du pain toasté ou des crudités de saison.

La soupe au pistou

Servie avec du pistou, de l’ail et du basilic pilés, avec un filé d’huile d’olive de moulin locaux composée d’une myriade de légumes, la soupe au pistou s’apprécie sous de nombreuses variantes et peut se manger avec du pain. Les haricots ou autres légumineuses sont souvent présents pour un plat consistant.

D’autres plats sont très appréciés des habitants et passants, on retrouve les plats de moules frites, les parillades de poissons, les poissons cuisinés simplement, assaisonnés d’huile d’olive et quelques herbes aromatiques ou sauce de chef de restaurant.

Entre soleil et mer, les Marseillais affectionnent le cocon de vie que leur offre le territoire riche. Grâce au développement économique les habitants accueillent avec intérêt les plats du monde entier, cuisinés par les professionnels des environs avec des produits locaux d’une qualité exceptionnelle.