Ville de Concarneau (Finistère, Bretagne) - ©Daniel Advisse-Desruisseaux via Communes.com

La ville close de Concarneau

Durant votre prochain séjour en Bretagne et plus particulièrement dans le Finistère, nous vous invitons à faire halte à Concarneau et à découvrir la ville close, une cité fortifiée construite au 15ème siècle.
Malgré son classement sur la liste des monuments historique, la cité s’était lentement dégradée au fil des siècles. Elle a fort heureusement bénéficié d’un plan de restauration depuis les années 1980 ce qui a permis d’ouvrir une large portion des remparts au public.

Laissez-vous surprendre par le charme de cette ville construite sur un îlot et de son port de pêche. Privilégiez les heures matinales si vous visitez Concarneau en haute saison afin d’éviter les flots de touristes qui viennent admirer ce petit coin de Bretagne.

Un peu de géographie

Dans le sud du Finistère, la baie de la Forêt présente un relief accidenté le long de l’Atlantique, entre la pointe de Beg Meil (Fouesnant) et la pointe du Cabellou (Concarneau).
Cette portion de littoral est sillonnée par de nombreux petits fleuves côtiers qui se jettent dans l’océan après avoir formé des abers (ou rias).
Ces baies étroites et profondes s’ouvrant vers le large, sont propices à l’installation de ports bien protégés. C’est pour cette raison que que le ria du Moros abrite le port de pêche et de plaisance de Concarneau.

Le Moros est un fleuve côtier de près de 17 km de long qui prend sa source à Melgven avant de se jeter dans l’océan au cœur des installations portuaires de Concarneau.
Une promenade sur les quais à la nuit tombée vous permettra d’assister au retour des marins-pêcheurs et de découvrir les poissons ruisselants qui sont vendus à la criée à la naissance du jour suivant.

Concarneau est également fière de sa plage des Sables Blancs qui permet aux familles de profiter des plaisirs de la baignade sous surveillance (en juillet et août) et des animations organisées en haute saison.

Un peu d’histoire

La préhistoire

La baie de la Forêt a été occupée dès le Néolithique et plusieurs menhirs et dolmens nous rappellent que le Finistère, et la Bretagne toute entière, est l’une des régions les plus prolifiques en mégalithes, un phénomène culturel qui est apparu en Europe de l’ouest au cours du 5ème millénaire avant JC.

En 1966, un souterrain datant de l’Âge du Fer a été découvert lors de la construction d’une route à proximité de la plage des Sables Blancs et de la ferme de Stag-Vihan. Ce souterrain est constitué de quatre salles en enfilade accessibles par des puits. On y a découvert divers tessons de poterie commune, des haches polies et des objets en fer.

L’étude de ces vestiges a permis de les rattacher à la culture de La Tène qui s’est développée en Suisse avant de migrer vers l’ouest au cours de la seconde moitié du 1er millénaire avant JC.
Cette civilisation ainsi que celle de Hallstatt, légèrement antérieure, ont donné naissance aux peuples celtes désignés sous le nom de Gaulois par Jules César.

La fondation de la ville

Selon la tradition, la ville de Concarneau a été fondée à la fin du 7ème siècle de notre ère par Concar, un descendant du chef de guerre armoricain Conan Mériadec. Ce dernier aurait profité de l’affaiblissement de l’empire romain et du soulèvement des peuples armoricains au début du 5ème siècle pour s’emparer du pouvoir et devenir le premier roi – légendaire – de Bretagne et fondateur d’une dynastie dont est issu Concar.

Alors que son père avait été écarté du pouvoir par son frère Alain II le Long, Concar profite d’un conflit entre les Armoricains et les Francs pour sortir de l’ombre.
A cette époque, les tribus pictes qui occupent les territoires de l’actuelle Écosse ont annexé la petite île de Kunq (Conq) située dans la Baie de la Forêt. Concar à la tête d’une petite armée s’empare de l’îlot où il fonde une ville baptisée Concar- Keronéos qui donnera naissance à Concarneau.

A la fin du 8ème siècle, les Francs s’emparent de la ville avant de devoir la rendre à la Bretagne quelques années plus tard, en 809. Malgré de nombreuses tentatives, les rois carolingiens ne parviennent pas à soumettre cette région fière de son indépendance.

Le Moyen-Âge

Il est probable que la ville construite sur le rocher de Conq est déjà défendue par des palissades en bois et par des fossés à la manière des mottes castrales dès le 9ème siècle.
Au siècle suivant, un prieuré est construit par des moines attachés à l’abbaye bénédictine Saint-Guénolé de Landévennec.
Concarneau est à cette époque rattachée au pays historique de Cornouaille, une entité politique divisée en plusieurs pagi (pays) dont le « pagus de Kink Kerné ».

La ville qui occupe une position stratégique sur le littoral prend de l’importance et une première véritable enceinte est construite sous le règne du Duc Jean II de Bretagne à la fin du 13ème siècle. Plusieurs institutions s’installent à l’abri de ces remparts tandis que des bourgeois et des marchands cohabitent désormais avec les pêcheurs.

Concarneau devient une place-forte primordiale pour la protection du Duché de Bretagne ce qui explique son histoire mouvementée notamment durant la « Guerre de Succession de Bretagne », à l’aube de la Guerre de Cent Ans.

La succession de Bretagne

De 1342 à 1373, Concarneau est entre les mains des Anglais. En effet, lorsque le duc Jean III de Bretagne décède sans héritier mâle, un conflit éclate pour sa succession entre Jean de Montfort, son demi-frère, et Jeanne de Penthièvre, sa nièce et épouse de Charles de Blois appartenant à la famille royale française.
Si les prétentions de Jean de Montfort sont légitimes, Jeanne de Penthièvre reçoit le soutien du roi de France Philippe VI. Jean de Montfort profite du conflit entre les Français et les Anglais pour se rapprocher de ces derniers à qui il réclame de l’aide.

En 1341, Jean de Montfort est capturé par les Français et la Bretagne est offerte à Charles de Blois. L’année suivante, les Anglais débarquent sur le littoral et s’emparent de plusieurs villes dont Concarneau qu’ils conservent malgré la signature d’une trêve en 1343.
Pendant deux décennies, la région vit des heures sombres marquées par des conflits meurtriers entre Français et Anglais et par les épidémies de peste. Les seigneurs bretons sont partagés entre les deux camps qui continuent à se livrer une guerre sans merci.

En 1373, Bertrand Du Guesclin reprend Concarneau aux Anglais au nom du roi de France, Charles V .
Les Anglais conservent cependant plusieurs villes importantes et tentent de s’emparer de Saint-Malo ce qui pousse le roi à confisquer le duché qu’il remet entre les mains de son frère Louis 1er d’Anjou. Cette décision parvient à réconcilier l’ensemble de la noblesse bretonne y compris Jeanne de Penthièvre qui la considère comme un affront et qui soutient dès lors le fils de Jean de Montfort, Jean IV.

Devant la menace d’un nouveau conflit, le roi de France accepte de reconnaître la légitimité de ce dernier en qualité de Duc de Bretagne contre paiement d’une indemnité.
Jean IV reste dorénavant neutre et le duché qui ne participe plus au conflit franco-anglais profite d’une période de prospérité et de paix.

Anne de Bretagne

La ville close de Concarneau est dotée de nouvelles murailles durant le 15ème siècle. Elle est reprise par les Français à deux reprises, en 1488 et en 1489.
A cette époque, le pays est en proie à la « guerre folle » qui oppose de 1485 à 1488 le Royaume de France alors entre les mains de la régente Anne de France, fille de Louis XI et sœur de Charles VIII, à plusieurs grands du royaume dont le duc François II de Bretagne soutenus par les Anglais, la Castille et le Saint-Empire.

Or, en 1488, François II décède sans héritier mâle alors que son duché est menacé par les troupes françaises. La défaite qu’il a subi peu de temps auparavant à Saint-Aubin-du-Cormier l’avait mis dans l’obligation de signer le «traité du Verger» stipulant que ses filles ne peuvent pas se marier sans l’autorisation du roi de France.
Sa fille Anne de Bretagne devient donc l’héritière légitime d’un territoire vacillant à l’âge de 11 ans. Anne et sa sœur Isabeau sont placées sous la tutelle du seigneur de Rieux qui refuse de céder cette fonction au roi de France ce qui provoque un nouveau conflit entre la France et la Bretagne.
La noblesse bretonne proclame Anne duchesse de Bretagne et la jeune fille se marie par procuration avec Maximilien d’Autriche, devenant ainsi reine des Romains.

Le roi de France assiège la ville de Rennes où réside la duchesse qui se voit contrainte de se rendre et d’accepter l’annulation de son mariage malgré le soutien des Anglais et des Castillans.
Anne de Bretagne consent à épouser le roi Charles VIII le 6 décembre 1491, une union qui est validée par le pape en février de l’année suivante.
Le roi de France devient donc par mariage duc de Bretagne, un titre porté à titre personnel et qui ne fait pas passer le duché dans le domaine royal.
C’est pour cette raison qu’à la mort de Charles VIII en 1498, Anne de Bretagne retrouve son titre et ses territoires.
Conformément à son contrat de mariage, elle épouse le cousin et successeur de son défunt époux, Louis XII après l’annulation du mariage de ce dernier avec Jeanne de France. Le contrat lui permet cependant de conserver ses droits sur la Bretagne.

Anne de Bretagne décède en 1514, usée par un grand nombre de grossesses et de fausses couches. Le duché est légué à sa fille Claude de France, l’un de ses deux enfants, avec Renée de France à avoir atteint l’âge adulte.
Claude devient à son tour reine de France par son mariage avec François 1er. Celui-ci accepte d’unir la Bretagne à la France tout en accordant des « droits, libertés, exemptions et privilèges » à la nouvelle province créée en 1532.

Concarneau, ville de pêcheurs et de garnison

Durant les « guerres de religion » qui opposent catholiques et protestants au 16ème siècle, la ville close de Concarneau joue un rôle important et passe plusieurs fois entre les mains des deux partis.
Finalement, en 1595, Concarneau, devient l’une des 42 villes membres des « États de Bretagne », cour souveraine du duché.
Celui-ci conserve alors une grande autonomie vis-à-vis du royaume de France et n’est pas soumis aux différents impôts comme la gabelle ou la taille.
En réalité, cette exemption est remplacée par un système de dons à la couronne et les États de Bretagne sont obligés de racheter des édits qui visent à réduire voire même à abolir les privilèges.

Concarneau qui reste un important bastion de la défense du pays est régulièrement équipée de nouvelles fortifications.
Sous le règne de Louis XIV, c’est l’ingénieur et architecte militaire Sébastien Le Prestre de Vauban qui est chargé d’améliorer le système de défense, notamment en plaçant des pièces d’artillerie au sommet des tours.
Si une garnison est installée en permanence dans la ville close, celle-ci n’en reste pas moins un port de pêche vivant modestement de la vente de sardines.

L’époque contemporaine

Petit à petit, des maisons appartenant à la classe bourgeoise enrichie par la révolution industrielle sont construites en dehors des murs de la ville close devenue le quartier populaire de Concarneau. Le niveau de vie est nettement amélioré grâce à l’implantation de conserveries de sardines et de thons et au commerce du vin et des céréales.
La quasi totalité des habitants de la ville travaillent sur les chalutiers ou dans les conserveries. Lorsque les bancs de sardines diminuent au début du 20ème siècle, l’économie de la région s’effondre. Des conflits sociaux surgissent sur fond de misère et de nombreux pêcheurs quittent la ville pour s’installer dans les villes minières et industrielles du nord de la France.
Fort heureusement, cette perte de revenus coïncide avec le début de l’engouement pour les bains de mer et Concarneau bénéficie du tourisme balnéaire dès les années 1870.
Les bourgeois mais également les artistes sont attirés par le charme pittoresque de la ville close et de son port. Des hôtels luxueux surgissent de terre.
Alors que les remparts sont voués à la destruction, une poignée de peintres parvient à les sauver en les faisant classés comme monument historique en 1899.

Occupée par les Allemands en 1940, Concarneau devient le siège d’une « kommandatur ». En 1944, les résistants participent activement à la libération de la ville qui est effective le 24 août lorsque les Allemands abandonnent la position aux mains des troupes américaines.

Après les guerres mondiales, Concarneau tente de redémarrer son activité de pêche notamment grâce au remplacement des anciens bateaux en bois par des chalutiers en acier. Conserveries, mareyeurs et pêcheurs prospèrent jusque dans les années 1970.
La concurrence internationale et la forte diminution des poissons entraînent l’arrêt progressif de ce marché. Une grande partie des anciennes installations portuaires est transformée en port de plaisance. Les conserveries, chalutiers et dockers disparaissent du paysage.

De nos jours, la pêche représente toujours un atout économique mais la construction et réparation navale, la thalassothérapie ainsi que la fabrication de filets de pêche et de vêtements de marins sont venus pallier le manque à gagner.

La visite

Si Concarneau s’est étendue bien au-delà de ses murs, la ville close reste la principale attraction touristique de la région.
Cette cité qui s’étend sur un îlot de 380 mètres sur 100 est entièrement entourée de remparts en granit surmontées de neuf tours.
Après avoir franchi l’ancien pont-levis qui sépare la ville close du continent, vous êtes transportés dans un autre univers, une autre époque. De part et d’autre de la rue Vauban, principale artère de Concarneau, des petites ruelles en pavés vous invitent à vous enfoncer dans la cité médiévale en direction du port de pêche. Au passage, vous vous laissez tenter par les boutiques et les restaurants aux jolies façades et devantures qui bordent les rues piétonnes et la place Saint-Guénolé.

Après une journée de visites, vous profitez d’un moment de farniente sur la plage des Sables Blancs ou vous embarquez sur un bateau qui vous amène en excursion sur l’archipel des Glénan.

En pratique

Les remparts

Ils entourent complètement la ville close de Concarneau. En raison de la dégradation d’un secteur qui n’a pas encore été restauré, il n’est actuellement pas possible de faire le tour complet des fortifications. La promenade sur les remparts reste un moment inoubliable et permet de découvrir à la fois le port de pêche et la baie de la Forêt d’un côté et les ruelles de la cité de l’autre. En raison des escaliers et des passages plus difficiles, la promenade sur les remparts n’est pas recommandée aux personnes à mobilité réduite.

Si vous commencez la visite par l’entrée principale, vous découvrez successivement :

  • la Tour du Gouverneur qui servait de résidence aux capitaines et par la suite du gouverneur du fort. Elle abrite aujourd’hui la Maison du Patrimoine.
  • la Tour du Major qui servait de dépôt de munitions et de logement aux majors
  • la Tour Neuve ou Moulin à Poudre
  • la Tour et la Porte au Vin qui s’ouvrait sur le port de commerce
  • la Tour et la Porte du Passage
  • la Tour du Port aux Chiens ou de l’Essence
  • le Fer à Cheval bâti sur une ancienne tour du 13ème siècle
  • la Tour du Maure
  • la Tour de la Fortune ou du Masson
  • la Porte des Larrons par où passaient les barques conduisant les voleurs jusqu’au lieu de leur exécution par pendaison.

La Maison du Gouverneur

La visite des remparts se complète par celle de la Maison du Gouverneur bâtie au 17ème siècle. Elle flanque la Tour du même nom avec laquelle elle communique.

La Maison du Patrimoine

Selon vos envies, vous pouvez faire le tour des remparts librement ou choisir une visite guidée accompagnée par un conférencier.
Visite guidée des fortifications et de la Maison du Patrimoine, tous les jours d’avril à octobre.

Possibilité de participer à des ateliers du patrimoine.

Maison du Patrimoine
Ville Close
29900 Concarneau
Tel : 02 98 60 76 06
Mail : patrimoine@concarneau.fr
Site web : http://culture.concarneau.fr

Le Musée de la pêche

Il permet de découvrir l’histoire de la pêche à travers les siècles et les techniques de la pêche au chalut. Il est installé depuis 1961 dans un ancien bâtiment de la ville close qui a servi tour à tour de chapelle, de caserne, d’école et de coopérative. La visite se termine par la découverte de l’intérieur d’un chalutier, l’Hémérica.
Le musée, excepté le chalutier, est accessible aux personnes à mobilité réduite.
Différentes activités sont proposées en saison sur réservation.

Le musée est ouvert toute l’année sauf en janvier :

  • tous les jours de 10 à 19 hr en juillet et août
  • du mardi au dimanche de 10 à 18 hr en avril, mai, juin, septembre et octobre et pendant les vacances scolaires
  • du mardi au dimanche de 14 à 17hr30 en février, mars, novembre et décembre
    Durée moyenne de la visite : 1hr30

Musée de la Pêche
3 rue Vauban
Ville Close
29900 Concarneau
Tel : 02 98 97 10 20
Mail : museepeche@cca.bzh
Site web : http://www.musee-peche.fr

La station marine de Concarneau

La station marine de Concarneau est la plus ancienne station du monde toujours en activité. Elle a été fondée en 1859 par un professeur du Collège de France, Victor Coste. Centre de recherche scientifique majeur de la région, elle abrite également le Marinarium qui permet au visiteurs de découvrir la vie au fond des océans. Les expositions permanentes et temporaires ainsi que les animations ont également pour mission de responsabiliser les visiteurs et de leur apprendre comment gérer et préserver la planète.

Le Marinarium est ouvert :

  • tous les jours de 10 à 19 hr en juillet et août
  • tous les jours de 14 à 18 hr en février, mars, octobre, novembre et décembre
  • tous les jours de 10 à 12 et de 14 à 18 hr en avril et septembre

Marinarium
Place de la Croix
29900 Concarneau
Tel : 02 98 50 81 64
Mail : marina@mnhn.fr
Site web : http://concarneau.mnhn.fr

Le château de Kériolet

Construit à la fin du 19ème siècle en style néo-gothique, il a été classé monument historique en 1984. Cette immense demeure a été construite par Charles Chauveau, un capitaine d’artillerie, et son épouse, une richissime princesse russe, Zénaïde Youssoupoff. Cette mésalliance a été consentie par le tsar Alexandre II à condition que le couple s’exile loin de la Russie. Le capitaine anobli pour l’occasion devient conseiller général à Concarneau et achète le domaine de Kériolet en 1861. Après le décès des époux en 1882 et 1893, la maison est ouverte au public. Elle est cependant récupérée par un descendant de la princesse en 1956 et les collections sont dispersées. Le château a été vendu à plusieurs reprises et, mal entretenu, subit des dégradations au fil des années.
Fort heureusement, le château est admirablement restauré et meublé par son nouveau propriétaire en 1988 et est à nouveau accessible notamment pour l’organisation d’événements.

Des visites guidées du château sont organisées de juin à mi-septembre de 10 à 13 hr et de 14 à 18hr.

Château de Kériolet
29900 Concarneau
Tel : 02 98 97 36 50
Mail : contact@chateaudekeriolet.com
Site web : http://www.chateaudekeriolet.com

Le fort du Cabellou

Construit au 18ème siècle pour protéger la baie de la Forêt. On peut y découvrir également un bunker allemand datant de la Seconde Guerre mondiale.

Fort du Cabellou
21 allée du Fortification
29900 Concarneau
Site web : http://cabellou.fr/2017/03/08/353/

Le festival des filets bleus

Le festival des filets bleus vous invite à découvrir chaque année au mois d’août la musique traditionnelle bretonne ainsi que des artistes contemporains. A l’occasion de ces journées festives, les touristes peuvent découvrir des défilés en costume folklorique, des groupes de danse et des musiciens qui ont à cœur de faire vivre la culture celtique.

Pour tous renseignements et réservations:

Festival des filets bleus
BP 518, Bâtiment CPAM
Avenue du Saule
29185 Concarneau
Tel : 02 98 97 09 09
Mail : filets.bleus@wanadoo.fr
Site web : http://www.festivaldesfiletsbleus.bzh

Que manger à Concarneau ?

Concarneau propose à ses visiteurs de s’attabler dans un petit restaurant de la ville close et de savourer quelques-unes de ses spécialités gastronomiques :

  • les crêpes dentelles bretonnes
  • les kouignettes, petits kouign-amann au beurre proposés en plusieurs versions
  • les torchettes, des galettes croquantes aux amandes, noisettes et algues
  • le caramel au beurre salé
  • les plateaux de fruits de mer et les huîtres
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