Journée mondiale de la non-violence

nonviolence-@Lioba Belage- creative commons- CC0

La violence, un sujet très en vogue. Les personnes incapables de convaincre usent de la violence pour arriver à leurs fins. Toutefois la violence ne s’exprime pas toujours par l’agression physique exercée par son auteur à une autre personne. La violence peut se manifester sous forme d’agression ou de harcèlement et pouvant être de type verbal, psychologique, sexuel et même économique.

Une action odieuse qui répand des troubles

La violence entraîne des traumatismes à l’infini sur leurs victimes, justifiés par leur comportement post-violence : alcoolisme, toxicomanie, prostitution, etc. Les troubles ne restent pas seulement au niveau de la personne uniquement, mais peuvent atteindre un pays tout entier. D’après une statistique, le développement économique d’un pays peut être retardé par le niveau élevé de la violence omniprésente.
Journée initiée par l’ONU le 2 octobre 2007, jour de la naissance de l’icône nationale indienne de la stratégie et de la philosophie de la non-violence et de l’indépendance connu sous le nom de Gandhi.
L’ONU vise à aider ces personnes fragiles : les personnes violentes et leurs victimes !
La journée mondiale de la non-violence vise à lutter contre les effets destructifs causés par la violence. Cette journée est l’opportunité pour ses organisateurs de :

  • rassurer de la pertinence d’un monde sans violence,
  • prendre conscience des dangers de la violence au grand public,
  • promouvoir la paix dans le monde entier,
  • informer sur les droits fondamentaux de l’homme,
  • développer l’importance du discernement, la latitude et la fraternité.

En 2019, on célèbre la journée mondiale de la non-violence pour la 150ème fois. Cette édition s’était tenue au siège des Nations Unies et avait pour thème : « Action pour le climat : les voies de Gandhi ».

Pour chaque édition, riche en éducation et sensibilisation, l’Organisation des Nations Unies se mobilise pour :

  • l’interpellation du grand public à s’affirmer de façon pacifiste et à dépasser l’esprit d’exercice de violence pour atteindre un objectif,
  • faire des discours orientés sur la lutte contre l’agressivité et la malveillance,
  • diffuser des messages objectivés vers la sûreté offerte par les sites religieux pourvoyant protection et sécurité,
  • effectuer des échanges, des conférences débats se manœuvrant sous des thèmes instructifs en lien avec cette lutte,
  • lancer des animations aidant les personnes les plus vulnérables à faire face à la violence,
  • renforcer la constitution de cellule d’aide aux personnes violentes.